Fière d'avoir été l'agent sur ce titre et de voir ce polar efficace publié en France.
BON A TUER, de Paola Barbato, sorti en avril 2018 aux éditions DENOEL, collection SUEURS FROIDES, 432 pages, 20,90 euros
Le synopsis : Corrado De Angelis et Roberto Palmieri sont deux écrivains que tout
oppose. Le premier, neurochirurgien, doit son succès à la qualité de ses
textes qui ont su redonner au roman policier ses lettres de noblesse.
Palmieri est quant à lui un auteur vedette qui ne rate pas une occasion
de faire le buzz et passe son temps sur les plateaux de télévision pour
le plus grand plaisir de ses milliers de fans, et ce malgré la piètre
qualité de ses romans.
Les maisons d’édition de De Angelis et de
Palmieri ont passé un accord diabolique : les deux auteurs sortiront
leur nouveau polar le même jour à la même heure, et un prix sera décerné
à qui vendra le plus de livres. La compétition sera lancée en direct à
la télévision. Mais, le grand soir, rien ne se passe comme prévu, et De
Angelis disparaît quelques minutes après avoir quitté le plateau. Le
mystère s’épaissit lorsque débute une série de meurtres imitant à la
lettre les crimes des thrillers de l’écrivain disparu. Une véritable
chasse à l’homme commence alors, car tout porte à croire que Palmieri,
jaloux et souffrant d’un indéniable complexe d’infériorité, est
coupable. Mais la réalité est bien différente et, comme dans chaque
roman de Paola Barbato, insoupçonnable.